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Session acoustique de Daguerre commenter news la boite noire du musicien

Découvrez en session acoustique le titre "Pour Deux", pour la sortie du nouvel album de Daguerre intitulé "Mandragore".Un duo acoustique guitare et violon avec Bertille Fraisse.

DAGUERRE sera en concert le Samedi 24 Novembre 2012 à L'Espace Bellevue de Gétigné ( 44 )
Un
concert organisé par la ville de Clisson
.



 

DAGUERRE
« MANDRAGORE »

www.facebook.com/DaguerreOfficiel

 
Les racines de la mandragore ont la forme d’un corps humain. Depuis l’Antiquité, on a prêté à la plante des pouvoirs étonnants, du philtre d’amour à l’aphrodisiaque. Prisée dans le mode de la sorcellerie, on disait au Moyen Age qu’elle guérissait la mélancolie dont elle est aujourd’hui le poétique symbole. Olivier Daguerre est un fils du punk, de Renaud et de Thiéfaine. Sa première mandragore, il la cueille dans « Les dingues et les paumés », l’un des plus beaux titres de l’Hubert-Félix enfin Victorieux de la musique. Sa dernière distille ses parfums au fil de son quatrième album. Potion magique aux pouvoirs chaleureux et envoutants.
Quatre ans après « Le cœur entre les dents », Daguerre  donne une dimension supplémentaire à son alchimie où poésie et rock, amour et révolte se conjuguent singulièrement. Dans le joli brouet de « Mandragore », on retrouve l’énergie des dix années de Veilleurs de nuit dont il fut l’auteur-compositeur mais aussi l’artisan qui enseigne son art au centre des écritures d’Astaffort créé par Francis Cabrel, jusqu’à l’esprit du Père Luh, personnage qu’il vient d’incarner dans « L’enfant-porte », conte musical  produit et tourné avec l’auteur de « La corrida ».
Olivier Daguerre, c’est vingt ans de musique. Sur la scène alternative parisienne des années 90, ses collègues sont les Têtes raides, la Tordue, Sanseverino ou Louise attaque. Après dix ans sans toucher le frein, l’envie de recul et de calme s’impose : Daguerre redescend dans son sud-ouest natal, se pose sur le rocher de Biarritz. Bientôt rejoint par son bassiste Michel « Mimi » Moussel, il devient Daguerre, au nouveau répertoire : des chansons sous tension.
Le premier album est autoproduit, le second l’est par Cabrel : entre temps, Daguerre a été un élève remarqué aux Rencontres d’Astaffort en 2005. « Ô désirs » sort en 2006, réalisé par Michel Françoise (Chandelle productions). Depuis six ans, le stagiaire est donc devenu formateur. C’est lors d’une session jeune public que naitra « L’enfant-porte ».
Produit par Cali et Bruno Buzan (label Bcba), « Le cœur entre les dents », troisième album, sort en 2008, Olivier et Mimi écument les salles. Daguerre monte en puissance. Le mélodiste est aussi sollicité sur la création de deux spectacles musicaux : « Aladin » au théâtre des Variétés et « Ulysse, l’odyssée fantastique » créé au théâtre Michel.
Pour faire éclore sa « Mandragore » toujours produite par Bcba, Daguerre cherche un réalisateur pour la première fois : ce sera là aussi l’ami Cali, le frangin catalan avec qui les retrouvailles régulières sur scène sont toujours de grands moments. Proximité quasi-animale entre deux sensibilités à fleur de peau. Même regard généreux et lucide sur le métier.
A leurs côtés, les pointures du studio de Rivesaltes sont là : Geoffrey Burton (guitares d’Arno, Bashung), Julien Lebart (claviers), Philippe Entressangle (batterie).  L’incontournable bassiste et alter ego de Daguerre aussi : Michel Moussel. Petite nouvelle mais non des moindres : Bertille Fraisse, merveille de violon et dont le chant donne sa couleur au disque. Les titres sont enregistrés live, spontanéité captée à son sommet.
« Mandragore » ouvre le bal, première variation autour de l’amour, abandon fusionnel dont Daguerre ne se lasse pas de décrire les sortilèges (« Je crois encore », « Au couteau »).  « Pour deux », single sautillant et joliment entêtant, est un blues confiant en l’autre, l’amour, l’amant, l’enfant, celui qui aura les mots qu’on n’a plus forcément. Quant à « Dans mon sang », elle dit la belle évidence de l’amitié. Souvenir d’une plage avec enfants découvrant les vagues pour la première fois, « Une journée à la mer » est une touchante chronique et un hommage en creux à une certaine idée du service public. L’observateur concerné et citoyen lucide livre aussi deux très beaux regards sur l’exclusion (« La rumeur de vivre » et « de la lumière »). Au creux de ces plages, le joyau « Carmen », poème de Théophile Gautier que Daguerre a magistralement mis en musique, sur laquelle Cabrel fait une magnifique deuxième voix, le tout mis en scène par Michel Françoise.
Quand se termine « Sans beaucoup d’estimance », drôle de déclaration d’amour inculte, c’est la fin d’un voyage intime et intense, rageur et délicat. Longtemps en duo sur scène, Daguerre partira sur les routes pour la première fois avec un trio, batterie, basse et cordes. Et une mandragore à la boutonnière.
 
 
Contacts DAGUERRE :
-Management : Stéphane Greco : grecostephane@gmail.com
-Label : BCBA Music & Publishing : brunobuzan@gmail.com
-Promo Province : Aurélie Schmit : schmit.aurelie@gmail.com
-Promo Nationale :  Vicken Sayrin : vicken.sayrin@gmail.com
-Tournée : Olivier Moulin : olivier@lesfacetiesdelululsam.com
 
 

Tags : Sante Fe, daguerre

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