PEARL FLUTE - MD970R

**Des flûtes en argent, fabriquées à la main avec le plus grand soin.**
La série Maesta est une référence historique dans le monde des flûtes japonaises fabriquées entièrement à la main. Équipées de cheminées soudées ou étirées, ces flûtes en argent 970‰ garantissent une projection du son époustouflante. Les technologies Pinless et One-Piece Core-Bar assurent par ailleurs des mécaniques silencieuses, souples et fiables.

**Pearl – Une tradition d’innovation.**
Le processus de fabrication artisanale de Pearl est le fruit d’une longue tradition. Des modèles d’étude aux exemplaires professionnels, chaque instrument doit accompagner chacune des étapes de la carrière d’un flûtiste. Pour assurer cette qualité pérenne, la firme nippone a initié un programme d’apprentissage unique dans son usine de Chiba, au Japon, afin que les artisans chevronnés partagent leur savoir-faire avec les nouvelles générations d’ouvriers.

**One-Piece Core-Bar, une innovation mécanique.**
Le système de fabrication One-Piece Core-Bar, présent sur toutes les flûtes de la marque, élimine les problèmes récurrents des modèles des autres fabricants qui en sont dépourvus. En effet, Pearl a conçu une tige qui traverse les axes des clés, du Do aigu jusqu’au Fa#, qui fiabilise les mécaniques, les rend plus confortables, pour une durabilité supérieure et un entretien moindre.

**Pinless Construction, le système sans aiguille.**
Toutes les flûtes Pearl sont construites selon le procédé Pinless breveté par la marque japonaise. Une fois combiné aux mécaniques, ce système élimine l’un des problèmes rencontrés par les facteurs traditionnels : les petites aiguilles qui accrochent les vêtements et favorisent l’infiltration de la transpiration et de l’acidité de la peau. Un phénomène qui peut nuire à l’instrument en induisant corrosion et raideur des clés. Cet inconvénient a été éliminé grâce à l’insertion de vis à goupille sous les mécaniques, écartant ainsi la nécessité de vis traditionnelles. Une solution simple à un problème récurrent. Encore fallait-il y penser…